Marquise, pardonnez-moi si mon aveu ne blesse Que vous, si mes baisers subtils vous sont méchants, Si je perds à vos pieds la plupart de mon temps Et si votre souci le reste ne me laisse. Votre voix me fait mal, votre main me caresse Et vous gardez toujours, par l’un de vos rubans, Le deuil de mes genoux, l’invisible serpent Qui tord mon élégance et fait rire vos tresses. Ou plutôt ne rêvais-je d’une ombre endormie ? Pouvez-vous quelquefois, d’une tapisserie Trompeuse, murmurer vos (…)
Dimitri était un petit faon.
Maintenant il est grand ; il est devenu un magnifique cerf. Il m’a raconté cette histoire lorsque je l’ai rencontré. Dimitri, sa maman et son papa se promenaient un jour dans une montagne couverte de prairies. Ils mangeaient tranquillement de la bonne herbe, bien (…)