Les Dieux m’ont présenté la coupe des merveilles Où l’ambroisie brillait comme raisin sur treille Sourire d’amante, parfum de carillon Mais j’ai flairé le piège et nié le poison De savoir le fluide problème du savoir. Mais si j’ai repoussé le fascinant breuvage J’ai conservé mes mains pour les tendre au rivage Dont le sable brûlant est plus noir que le noir.
Il était une fois un petit garçon très audacieux nommé Rodolphe qui habitait Paris.
Il aimait l’aventure. Un jour, il décida de faire un grand voyage.
Il n’avait guère d’argent dans sa tirelire, mais il demanda à chaque grande personne qu’il connaissait de bien vouloir lui donner une pièce (…)