Marquise, pardonnez-moi si mon aveu ne blesse Que vous, si mes baisers subtils vous sont méchants, Si je perds à vos pieds la plupart de mon temps Et si votre souci le reste ne me laisse. Votre voix me fait mal, votre main me caresse Et vous gardez toujours, par l’un de vos rubans, Le deuil de mes genoux, l’invisible serpent Qui tord mon élégance et fait rire vos tresses. Ou plutôt ne rêvais-je d’une ombre endormie ? Pouvez-vous quelquefois, d’une tapisserie Trompeuse, murmurer vos (…)
Il était une fois un petit garçon très audacieux nommé Rodolphe qui habitait Paris.
Il aimait l’aventure. Un jour, il décida de faire un grand voyage.
Il n’avait guère d’argent dans sa tirelire, mais il demanda à chaque grande personne qu’il connaissait de bien vouloir lui donner une pièce (…)