Article paru dans Var Matin le vendredi 22 février 2008.
Cela se passait au temps disparu des Lothingiens.
L’Histoire a oublié cette histoire. Éternel fléau, car les peuples meurent toujours sans révéler ce qui fut l’essentiel d’eux-mêmes. Mais je connais la parade : les fleuves charrient les épaves du passé, leur langage heurte le poète rodant sur (…)