Les Dieux m’ont présenté la coupe des merveilles Où l’ambroisie brillait comme raisin sur treille Sourire d’amante, parfum de carillon Mais j’ai flairé le piège et nié le poison De savoir le fluide problème du savoir. Mais si j’ai repoussé le fascinant breuvage J’ai conservé mes mains pour les tendre au rivage Dont le sable brûlant est plus noir que le noir.
Dimitri était un petit faon.
Maintenant il est grand ; il est devenu un magnifique cerf. Il m’a raconté cette histoire lorsque je l’ai rencontré. Dimitri, sa maman et son papa se promenaient un jour dans une montagne couverte de prairies. Ils mangeaient tranquillement de la bonne herbe, bien (…)