J’aime un poème subtil comme un fil léger qui m’effleure et demeure caché très loin tout près dans le moulin du Meunier.
Il était une fois un petit garçon très audacieux nommé Rodolphe qui habitait Paris.
Il aimait l’aventure. Un jour, il décida de faire un grand voyage.
Il n’avait guère d’argent dans sa tirelire, mais il demanda à chaque grande personne qu’il connaissait de bien vouloir lui donner une pièce (…)