J’aime un poème subtil comme un fil léger qui m’effleure et demeure caché très loin tout près dans le moulin du Meunier.
Nous entrâmes dans une taverne.
Tous les étages portaient des jardins garnis de fleurs inconnues et d’oiseaux silencieux. La brise et le végétal envahissaient par les fenêtres grandes ouvertes et les lianes jouaient de nos corps.
Plusieurs d’entre nous plongèrent dans les vastes aquariums (...)