Dormeuse au front léger incliné sur nos rêves J’imagine ce soir que tu murmures un nom Tu brillais de tous tes feux Tu nous donnais ta lumière Tu nous masquais un peu La laideur du monde Nous t’aimions c’est certain Nous étions très occupés par nos affaires Nous pensions avoir le temps de te connaître Nous n’avions pas compris Que le temps était terriblement compté Qu’il y avait une petite fleur au fond de toi La mort Nous ne sommes vraiment pas malins Nous n’avions pas compris Que tu (…)
Nous entrâmes dans une taverne.
Tous les étages portaient des jardins garnis de fleurs inconnues et d’oiseaux silencieux. La brise et le végétal envahissaient par les fenêtres grandes ouvertes et les lianes jouaient de nos corps.
Plusieurs d’entre nous plongèrent dans les vastes aquariums (…)