Au fond d’un puits aux parois rouges dormait un mage à la robe de granit il dort il court le furet au fur et à mesure que le chasseur grimpe les marches du château sous les lianes du château d’Éliane la brune
Le mage tenait dans ses bras une colombine endormie catastrophe
rêvait-il J’ai tué ce que j’aime Éliane la brune Éliane aux lianes Éliane ô Éliane J’ai dû serrer un peu trop fort Mes doigts autour de sa gorge
Ô mon havre d’amour Ô mon château vide je suis leste pourtant je jongle (…)
Bien des années ont passé, mais le souvenir de cette étrange rencontre n’a jamais quitté mon esprit.
J’ai souvent failli m’en ouvrir à un ami, mais au dernier moment je renonçais toujours à sortir du silence, par peur de paraître sombrer dans la folie, tant la chose est incroyable. (…)