Le chant de l’aveugle qui entrevoyait des jardins de lumière
Les Dieux m’ont présenté la coupe des merveillesOù l’ambroisie brillait comme raisin sur treilleSourire d’amante, parfum de carillonMais j’ai flairé le piège et nié le poisonDe savoir le fluide problème du savoir.Mais si j’ai repoussé le fascinant breuvageJ’ai conservé mes mains pour les tendre au rivageDont le sable brûlant est plus noir que le noir.